Comment trouver un syndic professionnel, correct et digne de confiance ?

De nombreuses résidences secondaires, surtout sur la Côte belge, sont des appartements dans des immeubles à appartements. Les propriétaires de ces appartements – résidents permanents, résidents non permanents et propriétaires – sont alors dans une relation de copropriété forcée et forment ensemble une association de copropriétaires.

Plus d’une fois, les copropriétaires se sont plaints du manque de transparence de la part du syndic. L’agence de gestion immobilière refuse de présenter les factures sur lesquelles se fonde sa comptabilité, l’agence de gestion immobilière agit de concert avec le promoteur immobilier, l’agence de gestion immobilière met en place une commission pour la désignation des entrepreneurs, …”. Il s’agit juste de quelques plaintes récurrentes. Malheureusement, il y a aussi des histoires de syndics qui pillent les comptes des copropriétaires. Un exemple récent fut rapporté dans la presse flamande.

Malheureusement, il n’existe pas de liste de syndics “dignes de confiance”. On peut bien sûr se tourner vers d’autres associations de copropriétaires pour connaître leurs expériences. Depuis 2018, les associations de copropriétaires doivent notifier auprès de la Banque Carrefour des Entreprises (BCE) quelle agence elles ont désignée comme syndic.

L’un des objectifs de TWERES est de faciliter cet échange d’expériences (par exemple en recueillant des évaluations auprès des copropriétaires).

Difficile à comprendre : à partir du 21 mai, les gens étaient autorisés à retourner dans leur seconde résidence en Belgique, mais pas si celle-ci se trouvait de l’autre côté de la frontière.

Lorsque le 21 mai 2020, sous la pression d’une procédure judiciaire menaçante, il a été décidé à la hâte en Belgique que les personnes pouvaient retourner dans leur seconde résidence, ce fut un soulagement pour bon nombre. Après tout, personne ne comprenait pourquoi il était autorisé de faire du shopping sur le Meir à Anvers ou dans la rue Neuve à Bruxelles dès le 11 mai, alors que l’interdiction d’aller dans une résidence secondaire restait en vigueur (à l’origine, il avait même été décidé de maintenir l’interdiction “au moins” jusqu’au 8 juin !)

Au même moment, les campings et les parcs de vacances aux Pays-Bas étaient déjà ouverts depuis un certain temps. Les Néerlandais et les Allemands pouvaient se rendre sans entrave dans leur maison de vacances ou leur mobil-home aux Pays-Bas. Cependant, les Belges furent arrêtés à la frontière par la police belge. Cela a, à juste titre, provoqué des réactions furieuses :

  • “Je venais d’acheter une nouvelle caravane sur un terrain dans un camping aux Pays-Bas.
    Le camping est ouvert sous des conditions strictes, comme, par exemple, de disposer de sa propre toilette dans la caravane, de garder ses distances, etc. Les Allemands et les Néerlandais séjournent déjà dans leur caravane mais en tant que Belge (et Européen comme eux), je n’ai pas le droit d’y aller car je ne suis pas autorisé à franchir la frontière belge. Espérons que notre caravane est toujours là et n’a pas été cambriolée. En ce moment, les gens sont libres de se rendre dans un parc d’attractions ou à faire du vélo avec 20 personnes, mais pas à traverser la frontière. Nous sommes enfin autorisés à visiter la deuxième résidence, mais malheureusement uniquement si celle-ci se trouve en Belgique”.
  • “Où puis-je être plus en sécurité en cas de contamination corona que dans ma seconde résidence en Zélande, juste de l’autre côté de la frontière belge”.
  • “J’ai acheté un mobil-home en Hollande. Depuis la fin du mois de février, tout y est enfin connecté mais nous n’avons pas le droit d’y aller”.
  • “Le gouvernement belge ne nous laissera pas retourner à notre mobil-home en Zélande. Nous avons une autorisation écrite du camping selon laquelle nous pouvions déjà y retourner à partir du 1er mai 2020. La politique belge ne nous le permet tout simplement pas. Les mêmes compatriotes ayant une deuxième résidence sont aujourd’hui autorisés à rejoindre leur seconde résidence en Belgique, mais pas si celle-ci se trouve 10 km de l’autre côté de la frontière. Aidez-nous, s’il vous plaît !”